Bonjour et bienvenue !
Je m’appelle Laurence Lamisse et je suis thérapeute relationnelle d’orientation gestaltiste.
J’ai suivi une formation de 5 ans à l’Institut de Gestalt du Nord, Champ-G. Mon travail s’inscrit dans le modèle PGRO (psychothérapie gestaltiste des relations d’objets), ou thérapie du lien. Je me nourris et m’appuie également sur les neurosciences affectives qui viennent éclairer ma posture et ma compréhension du trauma et de l’attachement insécure.
Je suis membre du Collège Européen de gestalt thérapie (CEG-t) et membre du collectif Alter-Psy et j’adhère à leur code de déontologie.
Ma pratique est supervisée par des professionnels certifiés, j’entretiens et approfondis ma formation régulièrement et je poursuis une thérapie personnelle.
Les raisons pour lesquelles les personnes consultent peuvent se regrouper en divers thèmes, bien qu’ils soient souvent imbriqués :
• Un moment de crise, des épreuves, une situation douloureuse, traumatisante.
• Des problèmes récurrents, voire depuis « toujours » et que vous ne supportez plus.
• Mais aussi sans raison spécifique, un besoin de trouver un lieu d’écoute, de parole, un endroit où déposer ce qui est trop lourd, un mal-être, une envie de se connaitre mieux.
J’ai ressenti le désir de devenir thérapeute
après avoir été moi-même accompagnée pendant un long moment , après avoir pu goûter, expérimenter et intégrer un lien qui soigne, qui nourrit, qui transforme, un lien qui permet de devenir acteur/actrice de sa vie avec la conscience et l’acceptation d’être imparfait.e., limité.e. et digne.
Ma posture est d’accueillir votre souffrance
Par une série d’entretiens, menés avec ouverture, intégrité, bienveillance et non- jugement, ma posture est d’accueillir votre souffrance, vous soutenir dans sa mise en mots et en sens pour ensuite explorer ensemble et lever les obstacles à votre développement et (re)trouver ainsi le plaisir de vivre, la capacité d’affirmer vos propres désirs avec la force d’accomplir ceux qui sont réalisables tout en restant serein envers ceux qui ne le sont pas.
Nous créons ensemble le lien thérapeutique
C’est dans cette psychodynamique du lien thérapeutique que nous créons ensemble, que vont pouvoir se rejouer et se dénouer les impasses de contact qui s’actualisent dans le présent et qui sont souvent douloureuses, stériles, handicapantes et/ou obsolètes.
J’ai choisi la gestalt-thérapie du lien
Car c’est une approche existentielle-humaniste qui prend en compte la globalité et la singularité de la personne et qui se fonde, avant toute autre chose, sur le paradigme suivant : c’est la relation qui soigne, c’est la relation qui est thérapie.
La gestalt-thérapie du lien fait un détour dans l’hier et ailleurs de la vie de la personne accompagnée car, dans certains cas, cela peut s’avérer nécessaire. En effet, chacun d’entre nous a vécu dans son enfance des expériences qui ont pu perturber notre développement psychoaffectif. Ces situations inachevées se rejouent, se reproduisent dans les différentes sphères de la vie (couple, famille, travail, loisirs, etc) et provoquent des impasses relationnelles et de la souffrance. Ces impasses se produisent aussi dans la relation thérapeutique ce qui permet de les reconnaitre, d’en élaborer le sens ensemble et de chercher à régénérer les capacités perturbées grâce à une relation fondée sur l’accueil de la souffrance, la présence attentive, l’intimité, le non jugement, la créativité et l’intégrité.Ce travail va amener plus de conscience et de nouveauté dans les relations présentes du client. Par conséquent, tout en reconnaissant l’importance du présent, la thérapie du lien met en avant l’importance de construire des liens durables comme une compétence essentielle de l’humain. Dans cette approche, j’accorde une place importante: à vos ressentis – sensations corporelles et émotions – (et aux miens), à leur prise de conscience fine et à leur expression, ainsi qu’à la compréhension de ce qui les provoque; aux fluctuations de notre lien (ce qui nous approche, nous éloigne, nous fait peur, nous rend agressifs, tristes, joyeux, etc), à la vision de vous-même et du monde qui oriente vos choix et vos décisions et pour finir à mon engagement dans une « vraie relation réparatrice » , seule porteuse de transformation durable.
La gestalt-thérapie du lien est attentive à rester fidèle à la vision d’un homme responsable, libre mais indissociable d’un environnement qui le confronte à ses limites, à l’absurde, à la finitude et au final à l’angoisse.
La posture du thérapeute
La posture du thérapeute telle que l’approche humaniste la conçoit n’est pas d’observer à distance sans exprimer d’affect ni d’interpréter avec son savoir de spécialiste mais au contraire de s’engager émotionnellement et de co-construire avec la personne accompagnée une relation vraie, authentique et réparatrice, porteuse d’une transformation durable. C’est dans cette posture que je me retrouve et que je me propose de vous accompagner : comme un guide éclairé d’un chemin que l’on parcourt à deux.
Informations pratiques
Les trois premiers entretiens (appelés aussi séances de découverte) nous permettent de faire connaissance, de poser votre demande et/ou votre souffrance car il arrive qu’on ne sache pas (encore) ce qui nous amène à consulter si ce n’est un mal-être diffus, une souffrance certaine qu’on ne peut plus porter seul(e). Trois séances qui vous permettront de sentir si vous avez envie de travailler avec moi, et moi, si je suis en mesure de vous apporter de l’aide. Dans l’affirmative, nous nous engageons mutuellement à débuter la relation thérapeutique. C’est vous qui décidez quand celle-ci prend fin. Néanmoins, il est tout aussi important de prendre le temps de clôturer la thérapie, de mettre fin à notre relation thérapeutique. Des lors, nous consacrerons deux ou trois séances à la clôture de cette dernière. De cette façon, nous pourrons nous assurer que votre décision est mûrie, constater le chemin parcouru ensemble, noter les zones qui requièrent encore votre attention et finalement nous dire au revoir.
L’outil de la thérapie du lien étant le lien, et ce lien devant se construire et se nourrir dans la durée, nous nous rencontrons de manière hebdomadaire. Dans des moments de grande vulnérabilité, nous pourrons même envisager de nous rencontrer plusieurs fois par semaine à votre demande.
La séance a une durée approximative de 50 minutes.
Le tarif de la séance est de 50 euros à payer en liquide à chaque séance.
Je reçois en face à face – en français et en italien – adultes (en individuel et couples) et adolescents.
N’ayant pas de salle d’attente, je vous demande de ne pas arriver trop à l’avance car je ne pourrai pas vous accueillir.
La thérapie relationnelle
La thérapie relationnelle est la rencontre entre un client/patient et un thérapeute qui va permettre une transformation. C’est un travail sur soi, effectué par quelqu’un qui en fait la demande. C’est une démarche responsabilisante et impliquante. L’accent est mis sur la capacité de la personne à prendre conscience de ses difficultés et de ses ressources et de modifier en profondeur sa façon d’être et d’agir, et l’implication du thérapeute est au service de ce processus de transformation. Cette transformation est rendue possible par la disponibilité et la capacité du thérapeute à accueillir le vécu de la personne et de le lui refléter de manière à éclairer sa conscience, et par la-même l’ouvrir au changement.
Laurence Lamisse – gestalt-thérapeute du lien
adresse du cabinet : 306, avenue Brugmann à 1180 Uccle (trams 4 et 92)
Tél: 0473 93 23 95
Mail: llamisse@psygestalt-bxl.be
« Il n’y a pas de psychothérapie sans psychothérapeute. Aucune méthode, aussi excellente soit-elle, aucun manuel, aussi structuré soit-il, aucune donnée, aussi probante soit-elle n’ont jamais guéri quelque souffrance psychologique que ce soit. Cette petite grâce, quand elle arrive – et elle arrive souvent – est le fait de la présence incarnée, résonnante, réfléchie et expressive d’un thérapeute singulier, affranchi des désastreux intégrismes d’approches. »
« L’objet de la psychothérapie n’est pas une maladie, une névrose ou un « cas »; ce n’est même pas le patient pris comme objet d’étude. C’est fondamentalement une relation : « deux-personnes-existantes dans un monde, le monde à ce moment étant représenté par le cabinet de consultation du thérapeute. »
Le blog
Patient ou client : quel dilemme !
Patient / client : quel dilemme ! En créant mon site, je me suis retrouvée à nouveau confrontée à ce dilemme dans l’utilisation des mots « patient » ou « client »…et vous savez quoi ? Je ne l’ai toujours pas résolu car aucun ne me satisfait vraiment....